La Sclérose en plaques est une maladie auto-immune, un déséquilibre du système immunitaire, qui ne protège plus des attaques extérieures mais s’attaque à ses propres cellules.
Il s’agit d’une maladie neurologique et inflammatoire caractérisée par la destruction progressive de l'enveloppe protectrice des nerfs du cerveau (la myéline) et de la moelle épinière.
Dans le cas de la SEP, c’est la myéline du système central nerveux qui est altérée.
La myéline est une sorte de membrane biologique (une gaine) qui protège et isole les neurones en s’enroulant autour de celles-ci. La myéline est produite par deux types de cellules dans deux systèmes nerveux différents : par les cellules de Schwann (dans le système nerveux périphérique) et par les oligodendrocytes (dans le système nerveux central).
Celle-ci permet de protéger les fibres nerveuses et a pour rôle principale l’accélération de la vitesse de propagation de l’influx nerveux transportant l’information le long des neurones. Attaquées par les lymphocytes, les gaines de myélines sont abimées et la circulation de l’information est empêchée ou altérée. Et cette démyélisation est entrainée par des poussées inflammatoires.
Les signes de la Sclérose En Plaques peuvent varier considérablement d'un patient à l'autre, car ils apparaissent en fonction de l'endroit du système nerveux central où une "plaque", une lésion s'est formée.
Par exemple:
D'autres symptômes associés à des troubles neurologiques peuvent être également à prendre en compte:
Les chercheurs pensent qu’elle survient en présence d’une combinaison de facteurs environnementaux, chez des personnes dont l’hérédité prédispose à la maladie.
Par exemple, une infection virale contractée durant l’enfance, comme le virus de la rougeole ou le virus Epstein-Barr ou encore une mononucléose pourrait être impliquée.
Quant aux facteurs génétiques prédisposants, ils sont également nombreux. Plusieurs gènes potentiellement impliqués ont été identifiés ces dernières années et pourraient augmenter le risque de sclérose en plaques.
Actuellement, il existe trois principaux traitements:
« J'ai une sclérose en plaque depuis 1987, j'ai tout essayé pour lutter contre cette maladie même l'urine mais je pense que le G5 m'a fait beaucoup de bien et continue à m'en faire. Chaque fois que je vois mon neurologue il me dit: et votre G5, vous en prenez toujours? C'est bien, continuez, continuez! Ça fait dix ans que j'en prends tous les jours, le dernier que j'ai pris chez vous est beaucoup plus efficace (ref. Silicium España Laboratorios), même ma femme en prend, elle le trouve formidable. Bien amicalement ». Mr. Bajou.
« J’ai 29 ans et je suis atteinte d’une sclérose en plaque. J’ai découvert le G5 par le biais d’un médecin qui m’a conseillé d’en prendre pour espacer les crises. Et c’est miraculeux. D’une crise tous les 2 ou 3 mois, je suis passée à 0 crise depuis 2 ans ! Alors le pourquoi du comment, cela m’est égal, ce qui compte c’est que ça marche ». Astrid.